Le concours 4

Le concours 4
13h33

Thomas arrive enfin. Sa petite voiture pleine de matériel vidéo.

«*Tu es superbe !*»

«*Merci baby !*»

«*Les cousins ont beaucoup apprécié ta petite vidéo avec les godes, ils sont très excités...*»

«*Tant mieux !!*»

Je monte dans la Clio. Je sens mon clito qui appelle déjà à la jouissance. Je ne me retiens plus, j'ai envie de sucer Thomas pendant qu'il roule, sur la rocade, entre deux camions, je me penche sur sa braguette, la défais aussitôt pendant qu'il fait reculer son siège au maximum pour me laisser un peu de place et dégage son sexe qui commence déjà à grossir.
Je ferme les yeux et je l'enfourne. La position ouvre ma chatte et soulève un peu mon manteau. Il en profite pour me caresser avec soin, faisant tourner ses doigts autour de mon petit bouton humide.

J'ai l'impression d'avoir le cul à l'air, offert aux conducteurs, mais je m'en fous. Sa bite est bonne, elle est devenue toute dure dans ma bouche, je veux le faire jouir avant qu'on arrive, je ne pense plus qu'à ça.
On rentre dans Bordeaux. Je le suce toujours avec gourmandise et il jouit dans ma bouche alors que nous sommes arrêtés à un feu rouge et que des piétons traversent l'avenue sur le passage clouté.
Je récolte sa belle dose de foutre pendant qu'il me fait jouir sous ses doigts. Ça commence à klaxonner derrière nous. Le feu est vert, Thomas se reconcentre et démarre.

«*On arrive dans 5 minutes*»

Je ne réponds pas. J'ai toujours son sperme en bouche. Je lui montre.
Il se marre.

«*T'es un sacré numéro, toi !*»

Il n'a jamais manqué de respect envers moi. Ça me plait chez lui.


«*C'est là*»

C'est un petit appartement bien décoré, qui sent le curry.

Marc me tend la main. Je lui serre en frémissant.

«*Voici Mario, mon cousin*»
«*Bonjour Louise*»

Je ne réponds pas, j'ai toujours la bouche pleine du sperme de Thomas. Je souris en lui donnant la main.

«*Tu n'es pas très bavarde Louise*» me dit Marc

Thomas répond a ma place

«*C'est qu'elle a la bouche pleine, elle m'a gentiment sucé dans la voiture.*»

J'ouvre la bouche pour leur montrer ma récolte et fais glisser mon manteau sur mon corps pour me retrouver nue, enfin ! Je rêvais de ce moment...il n'y a pas une seconde à perdre.
J'ouvre ma valise pendant que Thomas se dépêche d'installer son matériel et sors ma laisse que j'enfile aussitôt. J'ai envie d'être leur a****l de compagnie, une belle bourgeoise mariée prête à tout pour leurs queues de cheval.

Je prends ensuite les godes et en les regardant bien droit dans les yeux j'en enfonce un dans ma bouche, faisant dégouliner tout le sperme de Thomas dessus et je le lèche de haut en bas et dans tous les sens, prenant tout mon temps pour recueillir la semence et exciter les deux lions qui se dessapent enfin.

Leurs queues sont énormes, irréelles, je reste devant ébahie en bavant le foutre qu'il me reste. Elles sont exactement de la même taille que mes godes ! J'ai bien fait de m'entrainer de manière intensive...
J'ai l'impression que je vais pouvoir faire des barres parallèles avec, du jumping avec sauts d'obstacles.

Je leur tends le bout de ma laisse, Mario s'en saisit.

«*Tu vas nous lécher le cul, petite salope !*»

Rien qu'à entendre ses mots, un jet de mouille s'échappe de mon sexe et vient couler sur le parquet.
Sur un signe de tête de son cousin, Marc se retourne, se penche en avant en écartant bien les fesses et Mario tire sur mon cou pour enfoncer ma bouche sur sa raie. Il écrase même ma tête dessus et ma langue peut s'introduire dans son petit anus aussitôt. Pendant que je lui mange le trou, je peux soupeser ses grosses couilles qui pendent. Elles ont l'air bien pleines....si j'en crois mon sondage, il y a au moins deux belles éjaculations là-dedans...

Thomas a fini d'installer et filme déjà avec une caméra à l'épaule, nous tourne autour comme un satellite.

«*À moi maintenant*»

Je change de cul et continue mon festin, palpant aussi ses couilles, caressant sa longue tige d'ébène en l'imaginant me remplir les fesses.

J'ai envie de leur montrer mes nouveaux talents sans attendre

«*J'ai envie de vous sucer...s'il vous plait....*»

Un premier approche sa queue et prend ma tête dans ses deux mains pour me l'enfoncer dans la gueule. J'ouvre la mâchoire en grand et baisse un peu le menton pour que sa batte m'envahisse le gosier. Elle entre parfaitement, c'est même moi qui fait le dernier effort pour l'avaler jusqu'aux couilles avec une incroyable facilité. Il fait glisser ma tête sur son membre, aussi gros que le bras d'une petite fille, et se branle avec ma gorge, de plus en plus vite, de plus en plus fort. J'ai l'impression d'avoir un clitoris à la place de la glotte tellement la sensation m'excite et je jouis une première fois, sans même me toucher, les deux mains accrochées à ses cuisses musclées pendant qu'il enfonce mon crâne.

Les gorges profondes avec mon mari vont être bien fades désormais...

Il passe le relais à son cousin qui prend sa place aussitôt, me remplissant de chair et d'extase, il va se positionner derrière moi et m'enfonce un des godes géants dans la chatte, m'obligeant à me mettre en mode levrette soumise.
Le gode me fouille avec bonheur, me procure un plaisir nouveau. Je ne les ai même pas essayés dans mon sexe tellement je les voulais dans mon cul...

Voilà qui est réparé...Il me pilonne la chatte avec le gode pendant que son cousin défonce ma bouche, je surchauffe de plaisir, j'entends ma mouille faire des petits clapotis à chaque fois qu'il martèle ma moule et je deviens quasi hystérique quand il présente le deuxième gode à mon anus pour me sodomiser. Le gode entre jusqu'au fond de mon cul et me procure un deuxième orgasme terrible, stimulé par la triple pénétration de mes orifices.

«*Voilà pour les préliminaires...*» dit Marc, en retirant les godes sans ménagement.

Je me mets alors en position de petit toutou qui fait le beau, sur mes genoux, l'abdomen redressé, les mains repliées devant mes omoplates, et je jappe, j'imite les petits aboiements aigus et geignards du chien qui crève de sortir pisser.

«*Tu veux encore de la viande ?*»

Je hoche la tête très vite en signe de contentement et ouvre la bouche pour tirer la langue au maximum en haletant bruyamment. Je veux qu'ils me déglinguent.

Tout part en furie d'un coup. Je les ai surexcités, poussés au bord de leurs pulsions. Il me soulèvent de terre pour m'embrocher sur le premier pendant que l'autre s'installe déjà dans mon cul et les deux se déchainent dans mes fesses, je ne sais plus qui est où, je crie, je rie, j'éjacule, je pisse, je pleure, je hurle à la lune, pleine de leurs énormes bites qui font fumer mes trous.

Thomas lâche enfin sa caméra pour venir me remplir la bouche en me tirant par les couettes et balance déjà toute la sauce après seulement quelques allers retours dans ma gorge pendant que les deux lions me font exploser le ventre en stéréo. J'ai l'impression d'être dans un jeu vidéo, un dessin animé. Belle et les mastards...
Je fais des bulles de sperme pendant que Thomas reprend sa caméra pour filmer mon visage en gros plan. J'ai envie de parler. J'ai envie de lui dire.

«*J'aime le foutre...j'aime les queues...les grosses queues qui m'enculent...mon chéri...tu vois ?...tu vois ce que fait ta femme quand tu travailles ? Je me fais sauter....par des grosses queues....tellement plus grosses que la tienne....embrasse moi....*»

Et je pose mes lèvres poisseuses sur l'objectif de la caméra, étalant le foutre dessus pour le lécher encore un peu et me retape un violent orgasme en imaginant mon mari regarder la vidéo.

Les deux monstres sortent de mes fesses. Je veux les remercier avec ma bouche et je les pipe ensemble, passant d'un perchoir à l'autre, comme un oiseau qui s'abreuve au printemps, branlant tout ce que je peux pour bien faire monter leur sauce, qu'elle m'éclabousse, qu'elle m'asperge le visage. Je les branle maintenant à toute vitesse, les serrant fort dans mes poignets, je fais monter le jus qui doit faire tout le voyage des couilles jusqu'au méat, j'ai l'impression de branler des chevaux de trait...ça y est, ils vont jouir, j'ai juste le temps de poser ma bouche sur leurs glands, qu'elle se déforme pour les accueillir ensemble, et leur sperme jaillit par flocons, remplissant ma gorge comme une cave inondée par l'orage. Leur éjaculation simultanée est si puissante que le foutre me ressort par le nez pendant que j'avale, comblée, tout ce que je peux.

Je reste un long moment à les nettoyer et les léchouiller pendant qu'ils se reposent et que Thomas filme toujours. J'en profite pour me caresser à nouveau dans ce moment d'une intense douceur et quand Thomas revient filmer mon visage de près, j'entends ma bouche dégoulinante murmurer dans un dernier orgasme

«*Je t'aime chéri...tu sais...je t'aime...*»